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Panzerkampfwagen 38(t) Light Tank in Action Après que l'Allemagne ai annexée la Tchécoslovaquie et confisqué tous ses tanks, le Pz.Kpfw 38(t) devient l'un des plus important chars usité par la Panzertruppe dans le premier volet du conflit mondial. Les 38(t) seront intensivement utilisé en Pologne (3e leichte Division), en France (6e, 7e et 8e Panzerdivisions), dans les Balkans (8e Pz.Division), en Russie (6, 7e, 8e, 12e, 19e et 20e Panzerdivisions) mais aussi dans une moindre mesure en Norvège (XXXIe Armeekorps). Comme pour le Pz.Kpfw 35(t) le besoin d'un armement plus lourd afin de répondre aux T-34/76 et KV-I russes, rendit en 1942, le Pz.kpfw 38(t) complétement obsolète et il fut relégué à des rôles d'appoint (reconnaissance, trains blindés). Les deux modèles tchèques constituèrent avec les Panzers I & II le gros de la Panzertruppe et de Panzerdivisions durant les années de leur constitution (1936-1939) et rendirent possible l'invasion de la Pologne, et de l'Europe de l'Ouest qui sans eux aurait été impossible ou retardée, la production de Panzers III & IV n'étant qu'à ses débuts. After Germany annexed Czechoslovakia and confiscated all its tanks, Pz.Kpfw 38(t) becomes one of most significant tanks used by Panzertruppe in the first part of the world war. 38(t) will be intensively used in Poland (3rd leichte Division), in France (6th, 7th and 8th Panzerdivisions), in Balkans (8th Pz.Division), in Russia (6, 7th, 8th, 12th, 19th and 20th Panzerdivisions) but also to a lesser extent in Norway (XXXIst Armeekorps). As for Pz.Kpfw 35(t) the need for a heavier armament in order to answer Russian T-34/76 and Kv-I, made in 1942, of Pz.kpfw 38(t) completely obsolete and it was relegated to auxiliary roles (reconnaissance, armoured trains escort). The two Czech models constituted with Panzers I & II the large ones of Panzertruppe and Panzerdivisions during the years of their constitution (1936-1939) and made possible the invasion of Poland, and Western Europe which without them impossible or would have been delayed, the production of Panzers III & IV being only at its beginnings.
Le succès des Panzerdivisions dépendait surtout de leurs capacités à produire un effort très violent durant la phase de pénétration d'une offensive. Avec leur brigade de chars en fer de lance, et grâce à l'appui tactique étroit de la Luftwaffe (Stukas), elles attaquaient l'avant-garde de l'ennemi sur un front large de moins de 5 km. Lors de l'approche, les chars étaient groupés (Keil) mais lors de l'assaut ils se déployaient en deux vagues successives (Treffen) ou deux groupes parallèles (Flugel- ailes). L'organisation quadruple des unités de chars avait été conçue dans ce but. Chaque Treffen ou Flugel était responsable de traiter un aspect spécifique de l'offensive. Le poids et la vitesse mis dans l'assaut avait généralement le dessus sur la défense ennemie, et alors la brigade de Panzer accélérait et s'enfonçait dans les lignes ennemies, évitant des secteurs de résistance dans la mesure du possible. À travers l'espace créé par les chars, s'engouffrait le reste de la division: le bataillon blindé de reconnaissance, et les bataillons de canons motorisés, qui se chargeaient de réduire les secteurs isolés de résistance le long de l'axe centrale de l'offensive. Les batteries motorisées d'artillerie, préparent le terrain des chars ou de l'infanterie quant la situation l'exigeait: les canons antichars, étaient en général déployés rapidement pour contrer une contre-attaque blindée ennemie. En queue arrivaient finalement les unités de service divisionnaires avec leurs équipements pour le remplissage, l'approvisionnement et l'entretien et la récupération de véhicule. The success of Panzerdivisions especially depended on their capacities to produce a very violent effort during the phase of penetration of an offensive. With their brigade of tanks in spearhead, and narrow tactical support of Luftwaffe (Stukas), they tackled the avant-garde of the enemy on a broad face of less than 5 km. At the time of the approach, the tanks were grouped (Keil) but at the time of the assault they were spread in two successive waves (Treffen) or two parallel groups (Flugel- wings). The quadruple organization of the units of tanks had been conceived to this end. Each Treffen or Flugel was responsible to treat a specific aspect of the offensive. The weight and the speed put in the attack generally had the top on enemy defense, and then the brigade of Panzer accelerated and was inserted in the enemy lines, avoiding sectors of resistance as far as possible. Through the space created by the tanks the remainder of division was engulfed: the armoured battalion of reconnaissance, and battalions of motorized guns, which were given the responsability to reduce the isolated sectors of resistance along the axis of the offensive. The motorized artillery batteries, prepare the ground of the tanks or of the infantry as the situation required it: the anti-tank guns, were in general deployed quickly to counter an enemy armoured counter-attack. In tail arrived finally the divisional units of service with their equipment for the fueling, the provisioning and the maintenance and the recovery of vehicle.
En cas d'affrontement violent avec les blindés ennemis, seuls les PzKpfw IIIs, 35(t)s et 38(t)s étaient capablescapables avec leurs projectiles perforants d'y jouer un rôle avantageux, bien que le PzKpfw IVs ( compagnies lourdes) avec les projectiles hautement explosifs tirés par leurs obusiers de 75mm, pouvaient être utile si l'artillerie et les canons antichars ennemis étaient déployés. Les Pz.Kpfw Is et IIs étaient généralement laissés en arrière vu leur faible armement. Dans ces conditions, la Panzerwaffe pouvait compter sur les escadrons de bombardiers en piqué (Stukas) de la Luftwaffe, qui se montrèrent souvent décisifs. In the event of violent confrontation with the enemy armoured tanks, only PzKpfw IIIs, 35(t)s and 38(t)s were able with their perforating projectiles to play an advantageous role there, although PzKpfw IV (heavy companies) with the highly explosive projectiles fired by their howitzers of 75mm, could be useful if the enemy artillery and anti-tank guns were deployed. Pz.Kpfw Is and IIs were generally left behind considering their weak armament. Under these conditions, Panzerwaffe could count on the squadrons of bombers (Stukas) of Luftwaffe, which were shown often decisive.
Sources:
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