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Panzerkampfwagen II Light Tank in Action Le Panzerkampfwagen II entra en service au printemps 1942 et y restera jusqu'en 1942 comme char de combat, mais sera encore utilisé dans des rôles de reconnaissance, d'escorte ou de lutte anti-partisans ou encore d'entraînement jusqu'à la fin de la guerre. Le Panzer II fit son baptême du feu en 1936-1938 lors de la guerre civile espagnole au sein de la "Légion Condor". Au début de la guerre, lors de l'annexion de l'Autriche, de la campagne de Pologne, le Panzer II fut avec le Panzer I le principal composent des premières Panzerdivisions. Panzerkampfwagen II entered in service in spring 1942 and will remain there until 1942 like battle tank, but will be still used in roles of reconnaissance, escort, anti-partisans or training until the end of the war. Panzer II made its baptism of fire in 1936-1938 at the time of the Spanish civil war within the "Legion Condor". At the beginning of the war, at the time of the annexation of Austria, of the campaign of Poland, Panzer II was with Panzer I the main element of first Panzerdivisions.
Après la réorganisation des Panzerdivisions en 1940-1941, le Panzer II sera retiré des groupes de combat des Panzerdivisons pour être relégué dans les unités de reconnaissance. Au cours des campagnes de France et de Russie (premiers mois), le Panzer II sera en effet abondamment utilisé comme char de reconnaissance et parfois même encore comme char de combat vu le manque en dotations de Panzer III et IV des Panzerdivisions en raison d'une production déficiente et de l'augmentation brutale des Panzerdivisions. Cependant dès 1942, il disparaîtra complètement des opérations de premier ordre. En mars 1945, on n'en comptait plus que 145 en service. Cela tranche avec les 1223 exemplaires qui prirent par à la campagne de Pologne en 1939-1940 ! Quelques uns prendront part à la campagne de Norvège en 1940: 18 exemplaires au sein du Pz.abt.z.b. V. 40 en tant que chars d'infanterie. Lors du lancement des campagnes des plats-pays et de France, 920 exemplaires de ce char étaient en service dans la Panzertruppe. 260 exemplaires prirent part à la campagne des Balkans (opération Marita) en 1940 et 782 exemplaires prirent par à l'Oprération Barbarossa en Russie en 1941. Beaucoup périront lors de cette campagne du fait des armes antichar russes. Les Panzers II seront également utilisés en Afrique du Nord jusqu'en 1943. En 1942, 381 d'entre eux étaient encore en service dans la Panzertruppe sur le front russe. Pire en juillet 1943, lors du début de l'opération Zitadelle dans la région de Kursk, 107 étaient encore en état de combattre. En octobre 1944, un total de 386 exemplaires étaient encore disponible sur tous les fronts. Les Panzers II équipèrent essentiellement les unités de la Wehrmacht, seules les SS-Pz-Grandier Divisions Leibstandarte, Das Reich et Wiking auront des Panzers II dans leurs dotations. Le Panzer II sera également cédé aux alliés de l'Allemagne comme la Slovaquie, la Bulgarie, la Roumanie et la Hongrie. After the reorganization of Panzerdivisions in 1940-1941, Panzer II will be withdrawn from the groups of combat of Panzerdivisons to be relegated in the units of reconnaissance. During campaigns of France and Russia (first months), Panzer II will be indeed abundantly used as tank of reconnaissance and sometimes even still like battle tank considering the lack in equipments of Panzer III and IV of Panzerdivisions because a defective production and brutal increase of Panzerdivisions. However since 1942, it will disappear completely from the operations of first order. In March 1945, one counted nothing any more but 145 in service of them. That slices with the 1223 specimens which took by in the campaign of Poland in 1939-1940! Some will take share in the campaign of Norway in 1940: 18 specimens within Pz.abt.z.b. V 40 as tanks of infantry. During the launching of the campaigns of the low-countries and France, 920 specimens of this tank were in service in Panzertruppe. 260 specimens took share in the campaign of Balkans (Marita operation) in 1940 and 782 specimens took by in Barbarossa Operation in Russia in 1941. Many will perish at the time of this campaign because of the Russian anti-tank weapons. Panzers II will be also used in North Africa until 1943. In 1942, 381 of them was still in service in Panzertruppe on the Russian front. Worse in July 1943, at the time of the beginning of the Zitadelle operation in the area of Kursk, 107 were still in a position to fight. In October 1944, a total of 386 specimens were still available on all fronts. Panzers II equipped primarily the units into Wehrmacht, only SS-Pz-Grandier Divisions Leibstandarte, Das Reich and Wiking will have of Panzers II in their equipments. Panzer II also will be yielded to Allies of Germany like Slovaquie, Bulgaria, Romania and Hungary.
Le succès des Panzerdivisions dépendait surtout de leurs capacités à produire un effort très violent durant la phase de pénétration d'une offensive. Avec leur brigade de chars en fer de lance, et grâce à l'appui tactique étroit de la Luftwaffe (Stukas), elles attaquaient l'avant-garde de l'ennemi sur un front large de moins de 5 km. Lors de l'approche, les chars étaient groupés (Keil) mais lors de l'assaut ils se déployaient en deux vagues successives (Treffen) ou deux groupes parallèles (Flugel- ailes). L'organisation quadruple des unités de chars avait été conçue dans ce but. Chaque Treffen ou Flugel était responsable de traiter un aspect spécifique de l'offensive. Le poids et la vitesse mis dans l'assaut avait généralement le dessus sur la défense ennemie, et alors la brigade de Panzer accélérait et s'enfonçait dans les lignes ennemies, évitant des secteurs de résistance dans la mesure du possible. À travers l'espace créé par les chars, s'engouffrait le reste de la division: le bataillon blindé de reconnaissance, et les bataillons de canons motorisés, qui se chargeaient de réduire les secteurs isolés de résistance le long de l'axe centrale de l'offensive. Les batteries motorisées d'artillerie, préparent le terrain des chars ou de l'infanterie quant la situation l'exigeait: les canons antichars, étaient en général déployés rapidement pour contrer une contre-attaque blindée ennemie. En queue arrivaient finalement les unités de service divisionnaires avec leurs équipements pour le remplissage, l'approvisionnement et l'entretien et la récupération de véhicule. The success of Panzerdivisions especially depended on their capacities to produce a very violent effort during the phase of penetration of an offensive. With their brigade of tanks in spearhead, and narrow tactical support of Luftwaffe (Stukas), they tackled the avant-garde of the enemy on a broad face of less than 5 km. At the time of the approach, the tanks were grouped (Keil) but at the time of the assault they were spread in two successive waves (Treffen) or two parallel groups (Flugel- wings). The quadruple organization of the units of tanks had been conceived to this end. Each Treffen or Flugel was responsible to treat a specific aspect of the offensive. The weight and the speed put in the attack generally had the top on enemy defense, and then the brigade of Panzer accelerated and was inserted in the enemy lines, avoiding sectors of resistance as far as possible. Through the space created by the tanks the remainder of division was engulfed: the armoured battalion of reconnaissance, and battalions of motorized guns, which were given the responsability to reduce the isolated sectors of resistance along the axis of the offensive. The motorized artillery batteries, prepare the ground of the tanks or of the infantry as the situation required it: the anti-tank guns, were in general deployed quickly to counter an enemy armoured counter-attack. In tail arrived finally the divisional units of service with their equipment for the fueling, the provisioning and the maintenance and the recovery of vehicle.
En cas d'affrontement violent avec les blindés ennemis, seuls les PzKpfw IIIs, 35(t)s et 38(t)s étaient capablescapables avec leurs projectiles perforants d'y jouer un rôle avantageux, bien que le PzKpfw IVs ( compagnies lourdes) avec les projectiles hautement explosifs tirés par leurs obusiers de 75mm, pouvaient être utile si l'artillerie et les canons antichars ennemis étaient déployés. Les Pz.Kpfw Is et IIs étaient généralement laissés en arrière vu leur faible armement. Dans ces conditions, la Panzerwaffe pouvait compter sur les escadrons de bombardiers en piqué (Stukas) de la Luftwaffe, qui se montrèrent souvent décisifs. In the event of violent confrontation with the enemy armoured tanks, only PzKpfw IIIs, 35(t)s and 38(t)s were able with their perforating projectiles to play an advantageous role there, although PzKpfw IV (heavy companies) with the highly explosive projectiles fired by their howitzers of 75mm, could be useful if the enemy artillery and anti-tank guns were deployed. Pz.Kpfw Is and IIs were generally left behind considering their weak armament. Under these conditions, Panzerwaffe could count on the squadrons of bombers (Stukas) of Luftwaffe, which were shown often decisive.
Sources:
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