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Panzerkampfwagen I Light Tank in Action Le Pz.Kpfw I équipa les brigades blindées des trois premières Panzerdivisions en octobre 1935. Chaque brigade étant équipée de 2 régiments de 2 bataillons comprenant chacun 3 compagnies. Ces engins servirent à la mise au point des tactiques qui fourniront à l'Allemagne une éclatante victoire sur les Alliés en 1939-1940. C'est toutefois lors de la guerre civile en Espagne en 1936-38, que les équipages allemands recevront leur baptême du feu au sein de la célèbre "Légion Condor". En effet quatre bataillons comptant chacun 15 Panzers I y participeront. Les Panzers I équiperont lors de cette guerre civile également les 1er et 2e Agrupacion de Carros (bataillons de chars nationalistes). Au total 92 chars: 88 Pz.Kpfw I Ausf.A/Bs et 4 Pz.Befhlswagen Is participeront à cette guerre. A cause de leur faible blindage et armement, les Panzers I y prouvèrent leur insuffisance comme char de combat face aux T-26 et BT-5 russes équipant les forces républicaines. Les Panzers I servirent en grand nombre dans les immenses parades d'avant-guerre du IIIe Reich (Nuremberg et autres) qui grâce à la propagande donnèrent à l'étranger une illusion d'une Panzertruppe puissante. Pz.Kpfw I equipped the armoured brigades of the the first three Panzerdivisions in October 1935. Each brigade being equipped with 2 regiments of 2 battalions including each one 3 companies. These machines were used for the development of the tactics which will provide to Germany a bright victory over the Allies in 1939-1940. It is however at the time of the civil war in Spain in 1936-38, that the German crews will receive their baptism of fire within famous "Legion Condor". Indeed four battalions with each one 15 Panzers I will take part in it. Panzers I will also equip at the time of this civil war 1st and 2nd Agrupacion de Carros (nationalist battalions of tanks). On the whole 92 tanks: 88 Pz.Kpfw I Ausf.A/Bs and 4 Pz.Befhlswagen Is will take part in this war. Because of their weak shielding and armament, Panzers I proved there their insufficiency like battle tank against Russian T-26 and LT-5 equipping the republican forces. Panzers I were useful in great number in the immense pre-war period parades of IIIrd Reich (Nuremberg and others) which thanks to propaganda gave abroad an illusion of a powerful Panzertruppe.
Les Pz.Kpfw I Ausf.C/Fs seront utilisés pour la première fois avec la 2e Pz.Division en Russie et la 1re Pz.Division en Yougoslavie et en Grèce vers la mi 1943. Les derniers Pz.Kpfw I Ausf.Cs seront perdus en Normandie en 1944 alors qu'ils étaient en service au sein du LVIIIe Panzerkorps. Un blindage trop léger, n'offrant une protection que contre les armes légères et ses deux pauvres MG 34 condamnaient dès le début le Panzer I comme char de bataille. Il était juste utile comme char d'infanterie. Fin 1942, tous les Panzers I sont retirés du service et confinés dans des rôles de lutte anti-partisans et d'entraînement. Le Panzerkampfwagen II entra en service au printemps 1942 et y restera jusqu'en 1942 comme char de combat, mais sera encore utilisé dans des rôles de reconnaissance, d'escorte ou de lutte anti-partisans ou encore d'entraînement jusqu'à la fin de la guerre. Pz.Kpfw I Ausf.C/Fs will be used for the first time with 2nd Pz.Division in Russia and 1st Pz.Division in Yugoslavia and Greece about mid the 1943. The last Pz.Kpfw I Ausf.Cs will be lost in Normandy in 1944 whereas they were in service within LVIIIth Panzerkorps. A too light shielding, not offering a protection which counters the light weapons and its two poor MG 34 condemned from start Panzer I as tank of battle. It was just useful like tank of infantry. At the end of 1942, all Panzers I are withdrawn from the service and are confined in anti-partisans and training uses until the end of the war.
Le succès des Panzerdivisions dépendait surtout de leurs capacités à produire un effort très violent durant la phase de pénétration d'une offensive. Avec leur brigade de chars en fer de lance, et grâce à l'appui tactique étroit de la Luftwaffe (Stukas), elles attaquaient l'avant-garde de l'ennemi sur un front large de moins de 5 km. Lors de l'approche, les chars étaient groupés (Keil) mais lors de l'assaut ils se déployaient en deux vagues successives (Treffen) ou deux groupes parallèles (Flugel- ailes). L'organisation quadruple des unités de chars avait été conçue dans ce but. Chaque Treffen ou Flugel était responsable de traiter un aspect spécifique de l'offensive. Le poids et la vitesse mis dans l'assaut avait généralement le dessus sur la défense ennemie, et alors la brigade de Panzer accélérait et s'enfonçait dans les lignes ennemies, évitant des secteurs de résistance dans la mesure du possible. À travers l'espace créé par les chars, s'engouffrait le reste de la division: le bataillon blindé de reconnaissance, et les bataillons de canons motorisés, qui se chargeaient de réduire les secteurs isolés de résistance le long de l'axe centrale de l'offensive. Les batteries motorisées d'artillerie, préparent le terrain des chars ou de l'infanterie quant la situation l'exigeait: les canons antichars, étaient en général déployés rapidement pour contrer une contre-attaque blindée ennemie. En queue arrivaient finalement les unités de service divisionnaires avec leurs équipements pour le remplissage, l'approvisionnement et l'entretien et la récupération de véhicule. En cas d'affrontement violent avec les blindés ennemis, seuls les PzKpfw IIIs, 35(t)s et 38(t)s étaient capablescapables avec leurs projectiles perforants d'y jouer un rôle avantageux, bien que le PzKpfw IVs ( compagnies lourdes) avec les projectiles hautement explosifs tirés par leurs obusiers de 75mm, pouvaient être utile si l'artillerie et les canons antichars ennemis étaient déployés. Les Pz.Kpfw Is et IIs étaient généralement laissés en arrière vu leur faible armement. Dans ces conditions, la Panzerwaffe pouvait compter sur les escadrons de bombardiers en piqué (Stukas) de la Luftwaffe, qui se montrèrent souvent décisifs. The success of Panzerdivisions especially depended on their capacities to produce a very violent effort during the phase of penetration of an offensive. With their brigade of tanks in spearhead, and narrow tactical support of Luftwaffe (Stukas), they tackled the avant-garde of the enemy on a broad face of less than 5 km. At the time of the approach, the tanks were grouped (Keil) but at the time of the assault they were spread in two successive waves (Treffen) or two parallel groups (Flugel- wings). The quadruple organization of the units of tanks had been conceived to this end. Each Treffen or Flugel was responsible to treat a specific aspect of the offensive. The weight and the speed put in the attack generally had the top on enemy defense, and then the brigade of Panzer accelerated and was inserted in the enemy lines, avoiding sectors of resistance as far as possible. Through the space created by the tanks the remainder of division was engulfed: the armoured battalion of reconnaissance, and battalions of motorized guns, which were given the responsability to reduce the isolated sectors of resistance along the axis of the offensive. The motorized artillery batteries, prepare the ground of the tanks or of the infantry as the situation required it: the anti-tank guns, were in general deployed quickly to counter an enemy armoured counter-attack. In tail arrived finally the divisional units of service with their equipment for the fueling, the provisioning and the maintenance and the recovery of vehicle. In the event of violent confrontation with the enemy armoured tanks, only PzKpfw IIIs, 35(t)s and 38(t)s were able with their perforating projectiles to play an advantageous role there, although PzKpfw IV (heavy companies) with the highly explosive projectiles fired by their howitzers of 75mm, could be useful if the enemy artillery and anti-tank guns were deployed. Pz.Kpfw Is and IIs were generally left behind considering their weak armament. Under these conditions, Panzerwaffe could count on the squadrons of bombers (Stukas) of Luftwaffe, which were shown often decisive.
Sources:
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