/Vehicles/Allies/UK/04-InfantryTanks/Mk3-Valentine/File/2-Design.htm | Up-dated: | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Infantry Tank Mark III Valentine Design Comme pour la plupart des chars britanniques, le Valentine se divisait en trois compartiments: le poste de conduite, la chambre de combat et le compartiment moteur. Le chauffeur était placé dans l'axe du char et était assez à l'étroit. Il accédait au véhicule via une écoutille située au dessus de son poste. Sa vision était assez médiocre car il ne disposait que d'un petit viseur et de deux épiscopes. Le Valentine (A15) avait de nombreux points communs avec le Cruiser Tank Mark II (A10). Il conservait de ce dernier la suspension Vickers à deux bogies dite "à mouvement lent" dotés chacun d'un galet de roulement de diamètre moyen et de deux plus petits. Le soutien de la chenille à sa partie supérieure était fait grâce à trois rouleaux porteurs de chaque côté. Les galets de roulement furent de trois configurations différentes. Les chenilles donnèrent satisfaction sur tous les fronts sauf en Russie où la neige leur causa bien des problèmes. As for the majority of the British tanks, the Valentine was divided into three compartments: the driver's cab, the room of combat and the engine compartment. The driver was placed in the axis of the tank and was enough with the narrow one. He reached the vehicle via a hatchway located at the top of his station. His vision was rather poor because it had only one small sight and two episcopes. The Valentine (A15) had many common points with Cruiser Tank Mark II (A10). It preserved of this last the Vickers suspension at two bogies or "to slow movement" equipped each one with a road-wheel of medium diameter and two smaller. The support of the track at its higher part was made thanks to three return rollers on each side. The rollers were of three different configurations. The tracks gave satisfaction on all fronts except in Russia where snow caused them many problems.
Le châssis à l'avant possédait deux trappes d'accès pour le pilote et deux épiscopes analogues à ceux de la tourelle à disposition du commandant et du canonnier. Le compartiment arrière accueillait le moteur essence A189 de 130 ch, couplé à une boîte à engrenages Meadows Type 22 à 5 vitesses, laquelle était en prise sur le réducteur des barbotins situés à l'arrière. Ces derniers étaient dotés de tambours de freins montés à l'extérieur. Les versions suivante furent en majorité dotées du moteur diesel AEC 190 de 131 ch ou du diesel GM 6-71 604 américain de 138 ch. Le compartiment moteur était vaste et accessible, ce qui facilitait l'entretien du moteur. Sur les premiers modèles, la radio était de type II, reconnaissable aux antennes rétractables. Le remplacement par des radios de type 19 fut très lent. The chassis in front had two access hatches for the driver and two episcopes similar to those of the turret at disposal of the commander and the gunner. The back compartment accomodated the engine A189 gasoline of 130 hp, coupled to a gear box Meadows Type 22 with 5 speeds, which was in catch on the reducer of the sprocket-wheels located at the back. The latter were equipped with drum-brakes assembled outside. The versions following in majority were equipped with diesel engine AEC 190 of 131 hp or with American diesel GM 6-71 604 of 138 hp. The engine compartment was vast and accessible, which facilitated the maintenance of the engine. On the first models, the radio was of type II, recognizable with the retractable antennas. The replacement by radios of the type 19 was very slow.
L'armement initial consistait en un canon de 40 mm, couplé avec une mitrailleuse Besa de 7.92 mm, monté dans une tourelle basse à deux places de forme quasi cylindrique , fermée à sa partie supérieure par deux grandes trappes. Devant ces trappes on pouvait trouver les orifices de ventilation. La première grosse amélioration, fut l'adoption (sur le Mark III) d'une tourelle à trois place conservant cependant la circulaire d'origine au diamètre limité. L'espace fut gagné en décalant vers l'avant les tourillons du canon de 40 mm. Un des gros défaut du 2-pdr était son pointage en site, effectué avec l'épaule du canonnier ! A partir du Mark VIII, le Valentine fut réarmé avec un canon de 57 mm Mark III, que l'on réussit non sans quelques sueurs à monter dans la même tourelle que le canon de 40 mm. Le pointage en site était effectué au moyen d'une commande manuelle. En raison des dimensions plus importantes du canon de 57 mm, la tourelle redevenait biplaces et en raison du frein de recul, le masque externe fut modifié. Autre changement sur la tourelle, l'adoption de deux trappes et un troisième épiscope dirigé vers l'arrière. Dans un but de gagner de la place, la mitrailleuse coaxiale fut supprimée ainsi que le lance-bombes chargeable de l'intérieur qui fut remplacé par un dispositif fumigène classique (à deux tubes) montés sur le côté droit de la tourelle. Dans la tourelle du char, le commandant était surchargé par divers tâches comme celle de commander le char, charger le canon, repérer des cibles et se charger de la radio ! Pour compenser l'augmentation du poids en raison de l'adoption du canon de 57 mm, le blindage latéral de la tourelle fut réduit. Les nouvelles tourelles furent produites à partir de décembre 1941. Avec ce canon, le Valentine fut le premier char britannique à posséder une réelle puissance de perforation. Les derniers chars à posséder le canon de 57 mm (MArk IX et X) furent équipés de Mark V plus longs (L/52). Le stade ultime du développement de la puissance de feu du Valentine eut lieu avec la Mark XI et son canon de 75 mm à grand pouvoir perforant et explosif. The initial armament consisted of a gun of 40 mm, coupled with a Besa machine-gun of 7.92 mm, assembled in a low 2-man turret with a quasi cylindrical form, closed on its higher part by two large hatches. In front of these hatches one could find the openings of ventilation. The first large improvement, was the adoption (on Mark III) of a 3-man turret however preserving the original turret ring with the limited diameter. Space was gained while shifting forwards the pivots of the gun of 40 mm. One of the large defect of the 2-pdr was its elevation, carried out by the shoulder of the gunner! From Mark VIII, the Valentine was rearmed with a gun of 57 mm Mark III, assembled without some sweats in the same turret as the gun of 40 mm. The elevation was carried out by means of a hand command. Because of more important dimensions of the gun of 57 mm, the turret became again two-seater and because of the brake of recoil, the external mantlet was modified. Another change on the turret, the adoption of two hatches and a third episcope directed backwards. With an aim to gain place, the coaxial machine-gun was removed as well as the bomb-thrower loadable from the interior which was replaced by a traditional smoke-producing device (with two tubes) mounted on the right side of the turret. In the turret, the commander was overloaded by various tasks like that to command the tank, to load the gun, to locate targets and to use the radio! To compensate the increase in the weight because of the adoption of the gun of 57 mm, the side shielding of the turret was reduced. The new turrets were produced as from December 1941. With this gun, the Valentine was the first British tank to have a real power of perforation. The last tanks to have the gun of 57 mm (Mark IX and X) were equipped with Mark V longer (L/52). The ultimate stage of the development of the fire power of the Valentine took place with Mark XI and its gun of 75 mm to great perforating and explosive capacities.
Sources:
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